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AuteurRéponses
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13 juin 2017 à 22 h 04 min #3379
Après lecture de l’étude de cas, faites part de vos premières impressions avant de réfléchir aux questions posées.
Vous pouvez répondre ensuite directement dans ce sujet du forum afin que nous puissions échanger. Pour toute autre question concernant la formation, vous pouvez créer un nouveau sujet (suivre le lien puis en bas de page).
ETUDES DE CAS
LES DIFFERENTES STRUCTURES DE PERSONNALITE
Etude de cas 1 :
Mme A, 58 ans, vient en consultation suite à des symptômes qui à ce jour ont mis en péril son travail. Mme A m’explique qu’elle vient de perdre son emploi pour cause de retards quotidiens et incapacité à exercer correctement son travail. Cette perte d’emploi a généré un syndrome dépressif majeur avec des troubles du sommeil et de l’alimentation, développant ainsi des comportements boulimiques. S’ensuivent des conflits au sein du couple, le mari lui reprochant sa perte d’emploi et les difficultés financières qui en découlent.
Mme A décrit ses symptômes comme des besoins incessants de vérification au sein de sa maison, elle doit s’assouvir à un ensemble de rituels avant de partir au travail le matin au risque d’une angoisse majeure l’empêchant d’aller jusqu’à sa voiture pour partir au travail. S’ajoute un rituel devenu très invalidant, le lavage de main intempestif, à chaque contact avec une surface « définie comme sale ».
Mme A relate que ces symptômes sont survenus il y a 12 ans, suite au décès de son père. Mme A dit en même temps être contrariée à l’idée d’associer ses symptômes à la mort de son père car « J’étais préparée à son décès, il fumait comme un pompier, j’ai passé ma vie entière à lui faire la guerre, on savait tous ce qui l’attendait »
Mme A est l’ainée d’une fratrie de 3 enfants et dit avoir reçu une éducation stricte, et avoir passé ses « tendres années » à élever ses deux frères et à avoir beaucoup de responsabilités, « beaucoup trop » car sa maman est passée par différents épisodes dépressifs dont un qui a nécessité une hospitalisation de plusieurs mois. La patiente alors à l’époque âgée de 8 ans, s’est retrouvée seule à élever deux frères de 5 ans et 3 ans.
Elle entretient à ce jour une relation fusionnelle avec sa mère qu’elle va voir tous les jours, dont elle s’occupe seule, relation marquée de conflits et de culpabilité. Mme A a deux filles avec qui les relations sont assez tendues, suite à, d’après la patiente, « une lassitude de leur part de tous ces rituels incessants et destructeurs ».
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Question 1 : Quel est le motif de consultation de Mme A ?
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Question 2 : Quels sont les symptômes présentés par Mme A ?
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Question 3 : Quels sont les besoins de Mme A ?
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Question 4 : Quelles hypothèses faites-vous sur le diagnostic psychopathologique de Mme A ? Pourquoi ?
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Question 5 : Que proposez-vous pour accompagner Mme A ?
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Question 6 : Quelles questions seraient intéressantes à poser à Mme A afin de l’aider à cheminer sur son symptôme ?
8 mai 2018 à 22 h 29 min #6184Bonsoir,
A nouveau, mes réponses à l’étude de cas 1, car manifestement, le premier envoi n’a pas bien fonctionné. J’en ai profité pour apporter encore quelques précisions.
Dans l’attente de votre réponse,
Bien cordialement,
Laurent
1) Mme A consulte pour une situation de mal-être général, marquée par des troubles du sommeil et de l’alimentation (boulimie), ainsi que des rapports conflictuels avec son mari et ses deux filles. Situation qu’elle met en lien avec des symptômes particuliers.
2) Ces symptômes sont des troubles obsessionnels compulsifs (Toc), tels des « besoins incessants de vérification » et des « lavages de mains intempestifs ».
3) Les besoins ne sont pas clairement exprimés par Mme A. Mais on peut supposer qu’elle souhaite se débarrasser de ces symptômes invalidants et, au-delà, de l’angoisse qu’ils tentent de masquer par un mécanisme de déplacement. Cette angoisse est liée à la mort de son père, mais aussi plus profondément, à la mort en général. Elle a passé « sa vie entière » à « faire la guerre » à la perspective de la mort de son père.
4) Mme A souffre de névrose obsessionnelle, dont les TOC sont le symptôme majeur. On note aussi qu’il est fait mention de boulimie. Sans doute, là encore, une tentative inconsciente de maîtriser son angoisse morbide, en la convertissant sur son corps.
5) Je propose à Mme A de travailler d’abord sur les causes de sa pathologie, avec une psychothérapie clinique. En complément, je lui suggèrerais de consulter un médecin pour obtenir des anxiolytiques et / ou des antidépresseurs qui permettraient un premier soulagement face à une situation qui apparaît difficile à gérer au quotidien.
6) Outre des questions de clarification sur ses rapports avec ses parents et la façon dont elle a vécu son éducation rigide, je l’inviterais aussi, en parallèle, à se projeter dans le futur : que pourriez-vous gagner en vous séparant de ces TOC ? Par exemple, dans les rapports avec vos filles ? Les bénéfices entrevus permettraient peut-être de lui donner du ressort pour agir.
Eventuellement, je lui demanderais aussi de préciser le lien entre son travail et ses TOC. Ces symptômes ont-ils diminué ou au contraire augmenté depuis qu’elle a perdu son emploi ?
10 mai 2018 à 17 h 20 min #6187Bonjour Laurent,
Votre analyse est très pertinente et votre regard vraiment clinique, ce qui est très appréciable. En effet, en tant que thérapeute, il est important d’avoir ces deux qualités. Vos propositions thérapeutiques sont complètement adaptées aux besoins de Mme A, c’est du très bon travail.
Félicitations
Belle continuation dans cette formation
Au plaisir de vous lire
Audrey
30 mai 2018 à 16 h 50 min #6243Bonjour à tous
1/ Le motif principal de la consultation de Mme A est la présence de plusieurs symptômes invalidants survenus dans son quotidien qui ont dernièrement entrainé une perte d’emploi. Suite à cette perte d’emploi des problèmes relationnels sont survenus avec son mari ainsi qu’une dépression caractérisée par des troubles du sommeil.
2/ Les symptômes, on en observe plusieurs :
– des troubles obsessionnels compulsifs (TOCS) qui se manifeste par « un besoin incessant de vérification au sein de sa maison », « plusieurs rituels avant de partir au travail », « lavage de mains intempestif »
– une depression caractérisée par des troubles du sommeil
– un comportement boulimique
3/ Le besoin principal de Mme A est je suppose de pouvoir réussir à surmonter cette angoisse de la mort (contenu latent) qui se manifeste par un contrôle permanent sur l’environnement (déplacement). Pouvoir lâcher prise dans son quotidien et créer des relations interpersonnelles agréables dans son travail et avec ses proches. Réussir à prendre plaisir dans les actes de sa vie quotidienne.
Pouvoir également lâcher ses émotions par rapport au décès de son père car là encore il y a une tentative de rationnaliser, de contrôler l’émotion « J’étais préparée à son décès ». Comme ci les sentiments pouvaient se planifier … D’une certaine manière, on peut émettre l’hypothèse que d’une manière inconsciente au travers de tous ses contrôles elle tente de sauver son père. Lorsque Mme A. exprime le fait « Qu’elle a passé sa vie entière à lui faire la guerre. » C’est comme ci encore malgré son absence, les choses étaient toujours les mêmes.
4/Mme A présente une névrose obsessionnelle caractérisée par des TOCS. Dès sa jeune enfance, le terrain était propice. En effet, très jeune Mme A. a eu des contraintes familiales mises sur ses épaules. L’élément déclencheur a été le décès de son père (réactivation de l’angoisse de la mort, de ce qui n’est pas contrôlable). On relèvera également l’apparition d’une boulimie (tentative de rempli un vide ?) ainsi qu’une dépression. Dans son enfance la mère de Mme A était dépressive, on peut supposer qu’elle s’est également identifiée à cette maman.
5/ Comme accompagnement, je proposerai à Mme A
– pour commencer de se rapprocher de son médecin traitant pour une prescription d’anxiolytiques dans un premier temps pour « l’apaiser »
– de trouver une activité pour Elle qui lui fasse plaisir (marche, natation, sport, lecture ….)
– de commencer une psychothérapie axée sur l’angoisse de la mort, l’abandon et travailler sur le deuil de son père.
6/ Les questions qui peuvent amener une ouverture pourraient être :
– Qu’est ce contrôle permanent à créer dans votre vie ?
– Qu’est ce qui pourraient être différents si ces TOCS disparaissaient ?
– Par quoi vous pourriez les remplacer ?
3 juin 2018 à 22 h 15 min #6252Bonsoir Florence,
Je vous félicite de votre analyse et de la qualité de votre regard clinique. Le diagnostic est juste et les propositions adaptées
Félicitations
Audrey
8 août 2018 à 19 h 23 min #6569Bonjour,
suite a la présentation des symptômes de Mme A, je vous fais donc part de mes premières impressions.
il s’agit d’un sujet présentant un risque de pathologie mentale.
– d’un point de vue social, elle a été licenciée; et a développée des symptômes dépressifs, troubles du sommeil et de l’alimentation (Psychose).
– les rituels du matin de vérification incessante (névrose)et lavage de mains (hypocondrie), sont liés certainement au décès du père survenue plus jeune ( psychose maniaco depressive, haine de la personne perdue retournée contre soi) .
– enfant, elle est marquée par l’absence de sa mère dépressive et le poids de la responsabilité engagée vis a vis de l’éducation de ses frères (facteur génétique troubles bipolaires; tendance schizo « enfant dit insecure »)
– Enfin sa relation fusionnelle avec sa mère aujourd’hui ainsi qu’avec ses enfants, soulèvent de la névrose traumatique avec la mise en évidence de culpabilité et de non maitrise.
je dirais qu’elle souffre de psychose maniaco depressive avec troubles bipolaires.
8 août 2018 à 19 h 58 min #6580Question 1 : Quel est le motif de consultation de Mme A ?
perte de son travail.
Question 2 : Quels sont les symptômes présentés par Mme A ?
TOC TROUBLES OBSESSIONNELS COMPLUSIFS
RITUELS DE VERIFICATION INCESSANTES TOUS LES MATINS
ET LAVAGE MAINSQuestion 3 : Quels sont les besoins de Mme A ?
BESOIN DE REGULER SES TROUBLES D HUMEUR ET DEPRESSIFS
DEMORCER SON SENTIMENT D IMPUISSANCE ET DE CULPABILITE
DEVELOPPER SA COMMUNICATION VERBALEQuestion 4 : Quelles hypothèses faites-vous sur le diagnostic psychopathologique de Mme A ? Pourquoi ?
DIAGNOSTIC : PSYCHOSE MANIACO DEPRESSIVE AVEC TROUBLES BIPOLAIRES
Facteur génétique de troubles bipolaires liée a la mère
facteur psychologique : perte du père vécue comme décevante et retournée contre elle
trouble majeur humeur avec état dépressif, troubles associés de perte de sommeil, alimentaire boulimie, et relation tendue avec l’entourage.Question 5 : Que proposez-vous pour accompagner Mme A ?
psychothérapie
prise de lithium plus antidépresseur
inviter a rejoindre des groupes de parolesQuestion 6 : Quelles questions seraient intéressantes à poser à Mme A afin de l’aider à cheminer sur son symptôme ?
qu’est ce qui vous angoisse?
que recherchez vous au travers de ces rituels?
souhaitez vous améliorer cette situation?
avez vous réfléchi a des solutions?que pouvez vous mettre en place?
voulez vous que je vous accompagne dans votre démarche?9 août 2018 à 9 h 47 min #6584Bonjour Elise,
Merci de votre intérêt porté à l’étude de cas. Votre analyse est très détaillée et mérite que nous échangions à ce sujet. Dans votre première réponse, vous envisagez du point de vue social l’idée d’une psychose. Pouvez-vous développer svp? Ensuite, vous envisagez plus précisément l’éventualité d’une psychose maniaco-dépressive avec une bipolarité, pouvez vous également développer svp? Plus précisément, au delà du facteur génétique possible, qu’est ce qui dans le comportement de la patiente vous laisse envisager une psychose?
Dans l’attente de vous lire
Cordialement
Audrey
19 août 2018 à 18 h 53 min #6650bonjour,
je pense que mon diagnostic est a revoir. je me suis concentrée sur certains détails, comme le trouble majeur de l’humeur et trouble du sommeil entre autre, mais également la perte du père; qui m’ont laissé pensé a une psychose maniaco dépressive.
je pense qu’il s’agit plutôt de névrose obsessionnelle avec la mise en evidence de Troubles obsessionnels compulsifs.
30 novembre 2018 à 23 h 19 min #8509Bonjour voici ma première impression pour cette étude de cas
Mme A a développé différents symptômes suites à des évènements qui ont marqués sa vie. Ma première impression est que ses différents symptômes étaient en latence car Mme A a vécu une enfance avec une éducation stricte et aussi beaucoup trop de responsabilités sur ses épaules pour son jeune âge. ( Charge de ses frères seules). Elle avait donc un terrain propice au développement d’une pathologie mentale. les évènements marquants en ont été les déclencheurs.
son enfance a été marqué par la solitude, le manque d’affection et d’amour. Je pense qu’elle a pu ressentir un sentiment d’abandon et aussi d’injustice ( pourquoi cela arrive à sa famille)par l’hospitalisation longue de sa mère et l’absence d’un père.
Toutes ces blessures n’ont pas été guéries et ont ressurgi sous différentes formes quelques années plus tard à cause des évènements qui ont eut un effet déclencheur de la pathologie.
D’un point de vue spirituel, je pense que l’idéal serait de commencer par une séance dont le thème est « se décharger du poids des blessures cachées de ses parents » et aussi » guérir l’enfant intérieur ».
un autre conseil celui des petits bonhommes allumettes pour rompre tous les liens négatifs qu’elle a eut entre elle et sa mère , elle et son père, elle et chacun de ses frères…mais aussi elle et chacunes de ses filles, elle et son mari….
des séances de méditations pourraient soutenir ce travail.
voilà ma première impression.
cordialement
Céline
5 décembre 2018 à 13 h 34 min #8521Bonjour Céline,
Merci de l’intérêt porté à ce cas. Votre approche est originale et intéressante. Effectivement, pourquoi pas accompagner la patiente dans son lien avec les personnes (avec un travail de détachement), à condition bien-sur qu’elle soit dans la volonté de faire ce travail là car certaines personnes ont besoin de cheminer et d’élaborer un certain temps avant d’être prête à changer ou se séparer de leur symptôme ou problématique. C’est ce qu’on appelle les bénéfices secondaires.
Bonne continuation dans votre formation
Au plaisir de vous lire
Audrey
7 décembre 2018 à 8 h 07 min #8529bonjour voici mes réponses aux différentes questions/
question 1 :
Mma A consulte pour se débarrasser ( ou diminuer dans un premier temps) les symptômes invalidants qui gênent sa vie quotidienne pour retrouver une vie plus sereine d’un point de vue familiale. Ceux -ci lui provoquant une situation de mal-être en général.
question 2 :
troubles du sommeil avec dépression, troubles de l’alimentation :la boulimie ( problème de séparation avec les parents décès hospitalisation maman) et des tocs suite au décès…
ses différents symptômes ont été déclenchés par des facteurs environnementaux avec perte du travail (facteurs sociaux) et conflits avec sa famille ( facteurs familiaux)
question 3
le besoin principal de Mme A est de diminuer voire de faire disparaître définitivement tous les symptômes qui l’invalide dans sa vie quotidienne pour gagner en sérénité et en apaisement. guérir de la peur de la mort en général.
question 4 :
différentes pathologies découlent de ses symptômes:
une névrose obsessionnelle avec l’apparition des tocs suite au décès de son papa entraînant des conflits familiaux.
suite à la perte de son travail vient se greffer « une psychose maniaco dépressive sous forme unipolaire avec la dépression et les troubles du sommeil ainsi qu’un état borderline avec les troubles de l’alimentation de part sa boulimie ( pour remplir un manque un vide affectif)
question 5 :
en tant qu’accompagnant étant déjà former à l’hypnose et en soin énergétique, je commencerais par une séance reliant les deux. cette séance porterai sur la guérison de l’enfant intérieur et sur la relation avec sa famille plus particulièrement avec ses parents ( laisser les blessures cachées de ses parents à ses parents et non en porter la charge)
d’un point de vue énergétique : un réalignement, une harmonisation et une unification des chakras avec l’utilisation des huiles essentielles pour soigner les émotions et aider à lâcher prise (aromathérapie énergétique et émotionnelle)
lui proposer des séances de méditations entre pourrait lui être bénéfique pour l’apaiser;
bien sûr, en parallèle je lui conseillerai de consulter son médecin généraliste pour la prescription de médicaments anti-dépresseurs et anti-anxiolytique.
au fur et à mesure des séances, j’adapterais bien sûr l’accompagnement de Mme A pour l’aider à lâcher prise sur ses émotions et à guérir de son angoisse.
je lui demanderai aussi si elle est prête à être actrice dans sa guérison en trouvant une activité qui lui plaît pour l’aider et faciliter sa guérison.
question 6 :
déjà commencer par des questions de clarification sur sa relation avec sa famille. si tocs sont en augmentation depuis la perte de son travail..
qu’est-ce qu’elle compte faire pour faciliter sa guérison? ( activité tenir un journal…)
si les symptômes venaient à diminuer, quelles choses ( quels rapports) pourraient s’améliorer?
il me semble important de lui poser une question sur sa motivation et sa volonté pour avancer dans la voie de la guérison et si elle est prête à faire ce cheminement.
voilà mes réponses.
Cordialement
céline
12 décembre 2018 à 12 h 28 min #8544Bonjour Céline
Votre analyse est complète et vos propositions multi disciplinaires sont une vraie richesse. Je vous félicite pour cette belle approche
Audrey
22 février 2019 à 11 h 10 min #10024Bonsoir,
Je pense que Madame A souffre de ses TOC incontrôlables, l’entrainant dans un état dépressif. Cela est peut-être due à une surcharge émotionnelle, elle a perdu le soutien de son mari ce qui a aggravé la situation. De plus, il semblerait qu’elle n’ai pu créer de lien affectif avec ses filles car elle cherchait à créer absolument ce même lien avec sa propre mère dut à l’absence de cette dernière pendant son enfance?
1/ Pour des TOC suivis d’une dépression qui ont de graves répercussions sur sa vie familiale, professionnelle et personnelle.
2/ Troubles obsessionnels compulsifs , rituel de vérification à son domicile et lavage de main répétitif, troubles du sommeil et alimentaire ( boulimie )
3/ d’être comprise et soutenue par son entourage, chercher la source originelle de son mal être et recréer un lien avec sa famille
4/Névrose Obsessionnel et dépression. Fuite de son angoisse dû à la mort de son père , qui doit faire écho à la séparation pendant son enfance avec sa mère .
5/ Traitement médicamenteux pour la dépression , Psychothérapie individuelle et familiale et pourquoi pas séance d’hypnose.
6/ comment était sa relation avec son père ? comment a t’elle vécu l’absence de sa maman pendant son enfance ? Quel comportement sa mère avait vis à vis d’elle et de la famille en général à l’époque ? …
25 février 2019 à 16 h 45 min #10042Bonjour Mélanie,
Votre analyse de cas de Mme A est juste et les propositions de soin adaptées. Félicitations
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