Bonjour Jonathan,
Ce cas arrive fréquemment, une fois sur dix environs.
Les entités entrant dans cette catégorie font la plupart du temps penser à des adolescents, qu’elles soient dans la dérision ou l’affrontement.
La grande majorité de ces cas se règle relativement simplement.
Il est important de comprendre que l’état d’entité est un état d’esclavage énergétique. Une entité reste sur le plan astral à cause d’un traumatisme, d’une forte colère, d’un attachement excessif et, d’une manière générale, d’un refus de l’amour.
Cette situation, non enviable dans l’absolu, met le passeur d’âme dans une position forte de négociation. La question n’est pas un rapport de force entre le thérapeute et l’entité pour que cette dernière s’en aille mais la recherche de la clef qui finira par convaincre l’entité qu’elle n’a de toutes façon aucune autre option intéressante.
Comme dans de nombreux plans dans l’existence humaine, le refus, le rejet et l’affrontement sont des marqueurs d’une souffrance. C’est cette souffrance que le thérapeute va chercher, afin :
1- De marquer sa compréhension (l’écoute et la compréhension libèrent)
2- D’y proposer une résolution par la lumière
Dites vous que plus une entité est désagréable, plus grand est son tourment et plus votre aide sera salutaire pour le patient et vous. La libération de ce genre d’entité entraîne d’ailleurs généralement des changements visibles dans la vie quotidienne du patient.
Voici pour résumer une séquence type qu’il est possible d’utiliser dans ce genre de cas, à adapter suivant les situations :
– Présentation vis à vis de l’entité et présentation de l’objectif de la séance : La libération pour elle.
– Recherche par le dialogue des éléments bloquants qui ont conduit cette entité à rester sur ce plan.
– Apeller la lumière (ces actions sont détaillées dans la formation), les Guides et/ou les êtres chers.
– Libérer par l’intention ou métaphoriquement l’entité de ce qu’elle perçoit comme des entraves (le cas échéant, voir « Exemple de libération d’une entité difficile ».
– Négocier, négocier, négocier.
Dans la très grande majorité des cas, ce processus est amplement suffisant, il suffit parfois simplement de s’accrocher un moment sans perdre patience et espoir. Il est important de rappeller que l’entité a tout à gagner à partir, ce n’est donc pas une faveur qu’elle fait au thérapeute mais l’inverse.
Dans le petit nombre de cas restants, une seconde séance (plus tard) règle souvent la question et permet la « maturation » nécessaire.
Je n’ai jamais vu personnellement d’entité ne pas quitter le corps après la seconde séance. La clefs sera la constance, la persistance et la créativité relationnelle.
Vous représenter l’entité comme un second patient vous aidera à trouver le bon rapport thérapeutique.
J’ai vu certains thérapeutes utiliser un ton fort et effectuer des libérations musclées avec une intention ferme et inflexible et des ruptures de pattern conséquentes. J’ai pu constater que ces techniques fonctionnent, encore faut-il qu’elles correspondent à votre caractère et à votre tempérament. Inutile de monter le ton si ce n’est pas aligné avec votre personnalité. Voyez cela comme une discussion autours d’un sujet sérieux avec vos enfants et faites avec votre personnalité.
Je pense personnellement que l’amour que vous porterez à votre patient et à l’entité est une clef centrale du travail de passeur d’âme.
En vous souhaitant de bonnes expériences,
Je reste à votre disposition.
